l’Oppression
SOMMAIRE
Esclaves et concubines
L’Islam est venu rendre leur humanité à ces humains
L’étape suivante est la libération
Les droits des esclaves
Les pauvres
Les femmes
Les orphelins
Les animaux
Voici quelques règles de bienfaisance recommandées pour l’égorgement
L’oppression est l’un des actes les plus détestés par Allah au point qu’Il l’a interdite à Lui-même. Pour mesurer la grandeur du péché de l’oppression, imagine le sentiment de l’opprimé lors qu’il se retrouve seul après avoir été opprimé. Abolissons l’oppression dans toutes ses formes; physiques comme morales sur toutes les créatures d’Allah.
L’oppression et l’injustice sont des comportements qui mènent à commettre les pires pêchés. Le musulman doit être très pointilleux pour éviter de commettre une injustice.
Abou Hurayrah (ra), le Prophète (saw) a dit :
« Secours ton frère qu’il soit injuste ou victime d’injustice ».
Un homme a dit : « Ô Messager d’Allah ! Je lui porte secours si il subit une injustice mais si c’est lui qui commet l’injustice comment est-ce que je lui porte secours ? » Le Prophète (saw) a dit: « Tu l’empêche d’être injuste, ceci est le secourir ».
(Rapporté par Boukhâri et Muslim)
Esclaves et concubines
L’Islam a limité les sources de l’esclavage qui existaient avant l’avènement du Messager (saw) et n’en a retenu qu’une seule, à savoir la captivité consécutive à une guerre et concernant des prisonniers mécréants, leurs familles et leurs enfants. L’Islam réformât toutes les anciennes sources d’esclavage, excepté une seule : il s’agit de l’esclavage dû à la guerre. La pratique dominante à cette époque consistait à l’asservissement ou à l’exécution les prisonniers de guerre. Cette coutume était très ancienne, remontant sans doute au premier homme. Les guerres n’étaient pas régies par des règles qui prohibent le viol, la destruction des villes pacifiques, le meurtre des femmes, des enfants et des vieillards.
L’Islam est venu rendre leur humanité à ces humains
L’islam ne permet pas la prostitution ni le proxénétisme. Dans les autres pays, les captives de guerre sombraient inéluctablement dans la fange du vice.
Elles n’avaient en effet aucun soutien financier et leurs maîtres ne ressentaient à leur égard aucune jalousie pour leur honneur. Ils les faisaient travailler dans cette exécrable profession et gagnaient leur vie à travers ce trafic immonde.
L’Islam, la religion attardée, n’a pas accepté quant à lui la prostitution. Il s’est attaché à préserver la société propre de toute souillure criminelle. Ainsi ces femmes esclaves devinrent la propriété exclusive de leurs maîtres respectifs, ces derniers devaient les nourrir, les vêtir, les préserver du vice, et satisfaire leurs besoins sexuels — accessoirement — en même temps qu’eux-mêmes satisfaisaient les leurs.
Quiconque est en possession d’une concubine ou esclave lui doit nourriture de ce dont il se nourrit lui-même et le vêtir de ce dont il se vêt lui-même. Ne leur demandez pas ce qui dépasse leur capacité. Ainsi, le seul fait de gifler un esclave alors que rien ne justifie sa correction — sachant que la correction ne doit pas enfreindre la limite de ce que le maître se permet d’administrer à ses propres enfants — constitue un motif légal pour son affranchissement.
L’étape suivante est la libération
L’Islam les libère alors en les affranchissant gratuitement dans certains cas, ou en leur accordant un contrat d’affranchissement, dès lors qu’ils aspirent d’eux-mêmes à recouvrer leur liberté.
On ne trouve aucun texte dans le Coran et la Sunna qui véhicule l’ordre de réduire des gens à l’esclavage. Bien au contraire, les versets du Coran et les hadith du Messager (saw) comportent des dizaines de textes qui exhortent à la libération et à l’affranchissement des esclaves.
Dieu dit :
« Ô Prophète, dis à ceux des captifs qui sont entre vos mains : « Si Allah saît qu’il y a quelque bien dans vos cœurs, Il vous donnera mieux que ce qui vous a été pris et vous pardonnera. Allah est Pardonneur et Miséricrodieux. » »
(Coran 8 Verset 70)
Allah le Très Haut dit :
« …Ensuite, c’est soit la libération gratuite, soit la rançon. »
(Coran 4 Verset 47)
Dans un hadith Qoudoussi Allah dit :
« Au jour de la Résurrection, je serai l’adversaire de trois personnes. Et quiconque est mon adversaire sera vaincu. Parmi les trois personnes, Il a cité un homme qui a vendu une personne libre et utilisé son prix. »
(Rapporté par Boukhâri)
D’après Abou Dharr (ra) le Messager d’Allah (saw) dit :
« Ils (les esclaves) sont vos frères qu’Allah a placés entre vos mains. Quand Allah place entre les mains de l’un d’entre vous son frère, qu’il le nourrisse de sa propre nourriture et l’habille comme il le fait pour soi-même et ne lui impose pas un labeur qui dépasse ses forces. Si toutefois il le faisait, qu’il l’aide. »
(Rapporté par al-Boukhâri)
Abou Hourayra (ra) affirme avoir entendu le Prophète (saw) dire :
« Quiconque accuse injustement son esclave d’adultère, sera flagellé au jour de la Résurrection, à moins qu’il ne dise la vérité. »
(Rapporté par Boukhâri)
Les droits des esclaves
Le propriétaire doit avoir un bon comportement envers les esclaves, il doit dépenser pour eux, il ne doit pas les oppresser, il doit offrir les services de la santé aux esclaves et il doit accepter le contrat de la libération si l’esclave veut écrire ce contrat.
Le propriétaire doit permettre aux esclaves d’accomplir les cultes, et ne doit pas les empêcher de se marier s’ils veulent le mariage.
Nous pouvons confirmer que ces opinions sont contraires au Coran, car l’islam a interdit l’esclavage dans tous les cas, et a instauré un système basé sur la libération gratuite ou la libération contre une rançon, c’est le meilleur système de capture dans le monde.
L’esclavage est contraire à la nature humaine, car l’Homme est né libre et aime la liberté, cet esclavage est contraire à la religion de tous les messagers de Dieu. Tandis que la capture temporaire n’est pas contraire à la nature humaine.
Les pauvres
Allah dit :
« Quant à l’orphelin, donc, ne le maltraite pas. Quant au demandeur, ne le repousse pas. »
(Coran 93 Verset 9-10)
Le Prophète (saw) a dit :
« Allah fera miséricorde à ceux qui sont miséricordieux »
(Rapporté par Boukhâri et Muslim)
Le Prophète (saw) a dit :
« Celui qui soulage un nécessiteux, alors Allah le soulagera dans cette vie et dans l’au-delà »
(Rapporté par Muslim)
L’interdiction de l’injustice et Le fait de redouter la du’â de l’opprimé, car même si cet opprimé est un mécréant (Kafir) ou un pervers, sa du’â est exaucée par Allah !
Parmi les recommandations que le messager d’Allah (saw) adressa à Muadh lorsqu’il l’envoya au Yémen :
« …Et crains l’invocation de l’opprimé, car il n’y a pas de voile entre l’opprimé et Allah »
(Rapporté par Boukhâri, Muslim et d’autres)
En effet, Allah a interdit l’injustice entre ses serviteurs il dit dans un Hadith Qoudoussi :
« Ô mes serviteurs, Je Me suis interdit l’injustice à Moi-même et Je l’ai rendu interdite entre vous. Ne soyez donc pas injustes »
(Rapporté par Muslim)
Allah dit :
« Et ne pense point qu’Allah soit inattentif à ce que font les injustes. Il leur accordera un délai jusqu’au jour ou leurs regards se figeront »
(Coran 14 Verset 42)
Bien qu’Ibliss (diable) soit le plus grand des mécréants, Allah exauça sa demande, cela prouve donc que l’invocation du mécréant est quelques fois exaucée.
Allah dit dans le Coran :
« Seigneur, dit (‘Iblis), donne-moi donc un délai, jusqu’au jour où ils seront ressuscités ». (Allah) dit : » Tu es de ceux à qui un délai est accordé… »
(Coran 38 Verset 79-80)
Selon Ousama, le Prophète (saw) a dit :
« Je me suis tenu devant la porte du Paradis et j’ai vu que la plupart de ceux qui y entraient étaient des pauvres. Les riches étaient retenus [attendant leur sort] à l’exception de ceux destinés à l’Enfer qui y étaient déjà précipités. Je me suis tenu devant la porte de l’Enfer, et j’ai vu que la plupart de ceux qui y entraient étaient des femmes. »
(Rapporté par Boukhâri et Muslim)
D’après Abou Hurayrah (ra), le Prophète (saw) a dit :
« Celui qui s’occupe de la veuve et du pauvre est comme le combattant dans le sentier d’Allah ».
(Rapporté par Boukhâri et Muslim)
Abou Hurayrah (ra) rapporte ce hadith, le Prophète (saw) a dit :
« Le pire des repas est celui du festin auquel on invite les riches à l’exception des pauvres »
Allah dit dans le Coran : « Or, il ne s’engage pas dans la voie difficile ! Et qui te dira ce qu’est la voie difficile? C’est délier un joug (affranchir un esclave), ou nourrir, en un jour de famine, un orphelin proche parent ou un pauvre dans le dénuement. Et c’est être, en outre, de ceux qui croient et s’enjoignent mutuellement l’endurance, et s’enjoignent mutuellement la miséricorde. Ceux-là sont les gens de la droite; alors que ceux qui ne croient pas en Nos versets sont les gens de la gauche. Le Feu se refermera sur eux. »
(Coran 90 Verset 11 à 20)
Abou ad Darda (ra) a dit :
« J’ai entendu le Prophète (saw) dire : « Recherchez ma bénédiction en faisant du bien à vos faibles car Dieu ne vous donne Son soutien et votre subsistance que par égard pour vos faibles ». »
(Rapporté par Abou Daoud)
Ainsi, celui qui appliquera un comportement sur Ses créatures, Allah appliquera sur lui exactement le même comportement dans la vie d’ici-bas et dans l’au-delà. Allah sera envers Sa créature comme elle sera envers autrui. Ainsi, il se peut qu’Allah te fasse grâce et te pardonne, Allah ne laisse pas perdre la récompense de celui qui fait le bien.
Les femmes
La femme, en islam, a le droit de posséder ses propres biens et d’utiliser son argent comme bon lui semble, d’acheter et de vendre, de donner en cadeau et en charité. Elle a également droit aux héritages, tout comme elle a droit à l’éducation; l’acquisition du savoir est une obligation pour tous les musulmans, homme ou femme. L’épouse musulmane n’a absolument aucune obligation de soutenir financièrement les membres de sa famille, bien qu’elle puisse travailler si elle le désire.
L’islam interdit de forcer une femme à se marier contre son gré; celle-ci a le droit d’accepter ou de refuser une proposition de mariage. Elle a également le droit de demander le divorce si elle le juge nécessaire.
La femme voilée que vous voyez dans la rue est libre. Elle est libérée des chaînes qui entourent les pieds de la femme occidentale. Elle est libérée de l’esclavage économique et de la nécessité de faire vivre une famille sans le soutien d’un mari et sans aide aucune de la société. Elle mène sa vie en se pliant aux directives divines ; sa vie est remplie de paix, de joie et de force. Elle accueille ses tests et ses épreuves avec force et patience, certaine du fait que la vraie libération ne s’atteint que par la soumission volontaire à l’ordre naturel de l’univers.
Abdallah Ibn Mass’oud (ra) a dit :
« Qu’Allah maudisse les femmes qui tatouent et celles qui se font tatouer, celles qui s’épilent les sourcils et celles qui se liment les dents pour la beauté, celles qui changent la création d’Allah. Qu’aurais-je à ne pas maudire la personne qui a été maudite par le Messager d’Allah (saw) alors qu’il y a dans le livre d’Allah : « … Ce que le Messager vous donne; ce qu’il vous interdit abstenez-vous en; et craignez Allah car Allah est dur en punition » (Coran 59 Verset 7). »
(Rapporté par Boukhâri, Muslim et d’autres)
Le Messager de Dieu (saw) a dit :
« Un croyant ne devrait pas détester une croyante. S’il n’aime pas un aspect de son caractère, certains autres devraient lui plaire »
(Rapporté par Muslim)
D’après Abou Hurayrah (ra), L’Envoyé de Dieu (saw) a dit :
« La femme est pareil à la côte. Si tu essaies de la redresser, tu risques de la briser; et si tu la laisses comme elle est, tu en jouiras malgré sa courbure qui persistera »
(Rapporté par Muslim)
Selon Abou Hurayrah (ra), le Messager de Dieu (saw) a dit :
« Recommandez-vous la bonté envers les femmes. La femme a été créée à partir d’une côte, or c’est la partie supérieure de cette côte qui est la plus courbé. Si tu cherches à la redresser, tu la briseras, et si tu la laisses telle quelle, elle demeurera courbe. Recommandez-vous donc la bienveillance envers les femmes »
Selon Abou Hurayrah (ra), le Messager de Dieu (saw) a dit :
« Le Croyant qui a la foi la plus parfaite est celui qui a le meilleur caractère. Les meilleurs d’entre vous sont les meilleurs avec leurs femmes »
Le bon traitement envers la femme n’est pas seulement d’éviter de faire du tort à son épouse mais supporter ses torts, être indulgent devant ses fautes et ses colères surtout que dans certains jours du mois, elle perd un peu de son équilibre et peut dire des mots qu’elle regrette ensuite.
Les orphelins
D’après ‘Aïcha (ra), ‘Ourwa Ibn Az-Zubayr transmet qu’ayant interrogé ‘Aïcha (ra) au sujet de ce verset :
« Et si vous craignez de n’être pas justes envers les orphelins, … Il est permis d’épouser deux, trois, quatre, parmi les femmes qui vous plaisent. ». elle dit : « Ô fils de ma sœur, il s’agit du tuteur qui a la garde d’une orpheline et qui peut convoiter sa fortune et sa beauté et vouloir l’épouser, en lui assignant une dot inférieure à celle qui est de règle pour ses pareilles et qu’un autre pourrait lui assigner. Allah a donc interdit aux tuteurs d’épouser les orphelines dont ils ont la garde, à moins qu’ils ne soient équitables envers elles en leur assignant une dot complète; sinon ils peuvent épouser n’importe qu’elle autre parmi les femmes qui leur plaisent ».
‘Ourwa ajouta que ‘Aïcha avait dit que certains fidèles ayant demandé des éclaircissements au sujet de ce verset à l’Envoyé de Dieu (saw), Dieu révéla le verset suivant :
« Et ils te consultent à propos de ce qui a été décrété au sujet des femmes. Dis : Dieu vous donne Son décret là-dessus, en plus de ce qui vous est récité dans le Livre, au sujet des orphelines auxquelles vous ne donnez pas ce qui leur a été prescrit et que vous désirez épouser… » ‘Aïcha poursuivit : « Ce que Dieu désigne par ce qui vous est récité dans le Livre est le verset où Il dit : Et si vous craignez de n’être pas justes envers les orphelins… Il est permis d’épouser deux, trois ou quatre, parmi les femmes qui vous plaisent… »
Quant à ce verset, reprit ‘Aïcha : « Et que vous désirez épouser il s’applique à la répugnance que vous éprouvez pour la pupille orpheline lorsqu’elle a peu de fortune et peu de beauté. Aussi, Dieu a-t-Il défendu de rechercher en mariage les pupilles quand elles sont riches et belles, à moins de se montrer équitable envers elles, parce que ce désir ne se manifeste pas quand les pupilles ont peu de fortune et peu de beauté ».
(Rapporté par Muslim)
Les animaux
L’islam a incité à la bienfaisance et l’a rendu obligatoire envers ceux qui la méritent, il a interdit l’oppression et l’agression. Les textes coraniques et prophétiques, incitant à la bienfaisance envers tous les animaux sans distinction, et les hadiths menaçant ceux qui maltraitent aux animaux.
Allah dit :
« Certes, Allah commande l’équité, la bienfaisance … »
(Coran 16 Verset 90)
Le Messager d’Allah (saw) a dit :
« Allah a prescrit l’excellence en toute chose. Ainsi, lorsque vous tuez, faites-le convenablement et lorsque vous égorgez, faites-le de bonne manière ! Affûtez bien la lame et ménagez la bête à sacrifier. »
(Rapporté par Muslim)
Le Messager d’Allah (saw) a dit :
« Une femme est entrée en Enfer pour avoir enfermé une chatte jusqu’à la mort sans lui n’avoir donné ni à manger ni à boire, et sans la laisser se nourrir des petites bêtes qui se trouvent sur terre. »
(Rapporté par Muslim)
Selon Abou Hurayrah (ra), le Messager d’Allah (saw) a dit :
« Un homme, qui cheminait sur une route et souffrait d’une soif ardente, trouva un puits. Il descendit dans ce puits et y but. Quand il remonta, il vit un chien tout haletant de soif qui mâchait la terre (humide). Cet animal, se dit l’homme, souffre de soif autant que j’en souffrais moi-même. Alors, descendant dans le puits, il remplit sa bottine d’eau et en abreuva le chien. Allah le récompensa pour son acte et lui pardonna ses fautes. – Ô Envoyé d’Allah, s’écrièrent les assistants, aurons-nous une récompense pour ce que nous ferons pour les animaux ? Il y a une récompense, répondit-il, pour le bien fait à tout être doué d’un cœur sensible. »
(Rapporté par Boukhâri)
Le Prophète (saw) a dit :
« Allah a prescrit la bienfaisance en toute chose : ainsi si vous tuez, tuez convenablement et si vous égorgez, faites-le avec soin : que l’on aiguise la lame et qu’on épargne à la bête la souffrance. »
(Rapporté par Muslim)
Le Messager d’Allah (saw) vit une fois un âne marqué au fer sur le visage, alors dit :
« Allah a maudit celui qui l’a marqué »
(Rapporté par Muslim)
Et ceci est valable pour l’Homme ainsi que l’animal, toute nature vivante.
Tous ces textes prouvent l’interdiction de maltraiter les animaux, y compris ceux qu’il est légitime de tuer. Ces hadiths et leur contenu met en évidence l’attention que porte l’islam aux animaux, qu’ils soient domestiques ou sauvages.
Voici quelques règles de bienfaisance recommandées pour l’égorgement :
– Faire boire la bête avant de l’égorger. Le Messager d’Allah (saw) a dit : « Certes, Allah a prescrit de pratiquer le bien en toute chose. »
(Rapporté par Muslim)
– Que la lame soit bien aiguisée. Que celui qui égorge passe la lame (sur l’endroit approprié) avec force et rapidité, au niveau de la poitrine pour les dromadaires, et de la gorge pour les autres animaux.
– Le dromadaire doit être égorgé debout
– La patte arrière gauche attachée si possible et dirigé en direction de la Qibla (la Mecque).
– Les autres animaux doivent être couchés sur le côté gauche en direction de la Qibla
Le pied de celui qui égorge sur la nuque de la bête, sans l’attacher et sans lui casser ni lui ôter quoi que ce soit avant qu’elle ne soit morte. Il est détestable de lui trancher la tête avant qu’elle ne soit morte, de même que de l’égorger devant une autre bête. Ceci est recommandé au moment de l’égorgement, par miséricorde et bienfaisance envers l’animal.
Et Allah Sait Mieux…