Rappels Islamiques

Patienter face aux décrets est une partie de la foi en Allah

Tiré de Fathul-Majeed li Sharh Kitaabit-Tawheed, tome 2, 603-615


Louange à Allah, que la prière et le salut soient sur son prophète Mohamed sur sa famille et sur tous ceux qui le suivent jusqu’au jour de la résurrection.


Les vertus de la patience

L’imam Ahmed a dit :

« Allah a cité la patience (sabr) à 90 endroits de son Livre »

(Rapporté par Ibn al-Qayim dans Madârijus-Sâlikîn (2/152))

Et elle apparaît dans le hadith authentique :

« La patience est une lumière. »

(Rapporté par Mouslim et Ahmad d’après Abu Malik al-Ash’arî)

Le Prophète (saw) a également dit :

« Nul n’a reçu de don meilleur et plus abondant que celui de la patience »

(Rapporté par al-Bukhâri et Mouslim d’après Abu Sa’id al-Khoudry)

‘Umar (ra) a dit :

« Nous avons considéré les meilleurs moments de nos vies, comme étant ceux dans lesquels il y avait la patience (sabr) »

(Rapporté par al-Bukhâri)

‘Ali (ra) a dit :

« Certes, la patience fait partie de la foi (iman). Sa place est comme la tête quant au reste du corps »
Puis il éleva la voix et dit: « En vérité, Il n’y a de foi (iman) pour celui qui n’a pas de patience ». »

(Rapporté par al-Lâlikâ’î dans Sharh Usoul I’tiqâd Ahlus-Sunnah wal-Jamâ’ah, al-Bayhaqî dans Shu’abul-Îmân et Abî Shaybân dans Kitâbul-Îmân)

La signification de la patience

Le mot « sabr » (dans la langue arabe) est originaire du mot « sabara » (être patient et persévérer), il indique le fait de se retenir et de se maîtriser. (Sa signification au niveau de la Shari’a) implique le fait de : maîtriser son âme de l’agitation, d’empêcher la langue de se plaindre et empêcher les mains de se griffer les joues, de déchirer les vêtements et de faire d’autres actes similaires. Ceci fut mentionné par Ibn al-Qayim.

Et saches que la patience est de trois sortes :

1. la patience lors (de l’exécution) des ordres d’Allah,
2. la patience lors (de l’abandon et l’éloignement) des interdits d’Allah, et
3. La patience face à ce qu’a décrété Allah comme afflictions et malheurs

Une guidée pour les cœurs

Allah dit :

« Et quiconque croit en Allah, [Allah] guide son cœur. Allah est Omniscient »

(Coran 64 Verset 11)

Et ce verset commence par :

« Nul malheur n’atteint [l’homme] que par la permission d’Allah. »

Concernant ce verset, Ibn ‘Abbâs (ra) a dit :

« Par le commandement d’Allah – signifie : par Sa volonté et Son Pouvoir »
La signification de ce verset est que : « Nul malheur n’arrive excepté par Sa Volonté (Mashî’ah), Son Désir (Irâdah) et Sa Sagesse (Hikmah). Allah dit :

« Nul malheur n’atteint la terre ni vos personnes, qui ne soit enregistré dans un Livre avant que Nous ne l’ayons créé; et cela est certes facile à Allah »

(Coran 57 Verset 22)

Allah dit :

« Et fais la bonne annonce aux endurants, qui disent, quand un malheur les atteint : « Certes nous sommes à Allah, et c’est à Lui que nous retournerons ». Ceux-là reçoivent des bénédictions de leur Seigneur, ainsi que la miséricorde; et ceux-là sont les biens guidés. »

(Coran 2 Verset 155-157)

Sa parole : « Nul malheur n’atteint [l’homme] que par la permission d’Allah.» Ibn ‘Abbâs (ra) a dit que la partie « que par la permission d’Allah » signifie « que par le commandement d’Allah » c’est-à-dire par Sa volonté et Son Pouvoir.

Et la parole d’Allah « Et quiconque croit en Allah, [Allah] guide son cœur » signifie, quiconque – lorsqu’il est affligé d’un malheur – sait que c’est le Décret d’Allah, puis il patiente en espérant la récompense et par soumission au décret d’Allah, avec une certitude véridique, alors Allah guide son cœur en échange de ce qu’il a subi dans ce monde. Et il se peut qu’Il remplace tout ce qu’Il lui aura pris.

La parole d’Allah : « Allah est Omniscient » est un avertissement qu’un tel malheur a lieu par Sa Science qui inclut Sa Sagesse, et qui rend obligatoire la patience et le fait d’accepter Son Décret.

Abu Dhibyân (ra) a dit :

« Nous étions avec Alqamah  lorsque ce verset lui fut récité « Et quiconque croit en Allah, [Allah] guide son cœur », il dit alors « Il s’agit de l’homme qui – lorsqu’il est touché par un malheur – sait qu’il provient d’Allah, alors il l’accepte et s’y soumet »

Dans la narration ci-dessus, il y a une preuve quant au fait que les actes font partie de la foi (Iman).

Sa‘îd Ibn Jubayr (d.104H) a dit concernant :

« Et quiconque croit en Allah, [Allah] guide son cœur » : « Qu’une personne dit (lors d’une situation de malheur) : « Certes, à Allah nous appartenons et vers Allah nous retournerons ».

Le verset cité précédemment, est une explication du fait que faire preuve de patience est la cause de la guidée du cœur, ce qui est une récompense pour ceux qui patientent.

Se plaindre du décret d’Allah

Le Prophète (saw) a dit :

« Deux comportements chez les gens sont une forme de mécréance : insulter les origines et se lamenter sur le mort »

(Rapporté par Mouslim et Ahmad, d’après Abu Hourayra)

Ce qui signifie que ces deux caractéristiques sont des actes de mécréance (kufr), puisqu’ils sont des actes de jâhiliyah (ignorance préislamique) qui ne cesseront d’exister chez les gens.

Personne n’en sera préservé, excepté celui qu’Allah protègera, et celui à qui Allah accordera le savoir et la foi (iman), avec lesquels il sera éclairé.

Cependant – il faut savoir – que celui qui possède une branche de mécréance (kufr), cela ne fait pas de lui un mécréant (kâfir) d’une mécréance absolue (kufr-ul-mutlaq), tout comme une personne qui possède une branche de la foi (iman) n’est pas appelée croyante (mu‘min) d’une foi absolue. Certes, il y a une différence entre le mot kufr avec l’article défini (c’est-à-dire al kufr) et le mot kufr sans l’article défini, tel qu’il apparaît dans la parole du Prophète (saw) :

« Entre l’homme, la mécréance et le polythéisme, il y a l’abandon de la prière »

(Rapporté par Mouslim, Abu Daoud et at-Tirmidhy de Jabir Ibn ‘Abdullah)

La parole du Prophète (saw)  « insulter les origines », signifie : trouver des fautes et des défauts. Cela comprend également le fait de dire « il n’est pas le fils d’untel » tout en sachant que cette dénégation est fausse.

Et la parole « se lamenter sur le mort » signifie : élever la voix en se lamentant, en gémissant et en énumérant les vertus du défunt. Tout ceci est une forme de plainte contre le Décret d’Allah, ce qui s’oppose à la patience, comme les paroles d’un plaintif : « Il était mon plus proche ami » ou « il était celui qui m’aidait et me soutenait ».

Dans le hadith précédent il y a la preuve de l’obligation de faire preuve de patience, et que c’est une forme de mécréance (kufr), qui ne fait pas sortir de l’Islam.

Tendres cœur et larmes de compassion

Le Prophète (saw) a dit :

« N’est pas des nôtres celui qui se frappe les joues, déchire ses habits et se lamente comme on le faisait au temps de la Jâhiliyah »

(Rapporté par al-Bukhâri et Mouslim, d’Ibn Mas’ud)

C’est un des textes avertisseurs rapportés dans la révélation. Il est rapporté de Sufyân ath-Thawrî et de l’imâm Ahmed qu’ils n’appréciaient guère expliquer le sens de ce genre de menace afin que ce soit plus marquant sur les esprits et plus intense dans la menace (C’est-à-dire qu’ils préféraient laisser ces avertissements tels quel car leur formulation est plus marquante). Ce récit est une preuve que les actes mentionnés sont en opposition avec la foi (iman) complète obligatoire.

Al-Hâfidh Ibn Hajar (D.852H) en expliquant la parole « quiconque se frappe les joues » a dit :

« Les joues ont été spécifiées parce que c’est l’endroit le plus commun d’être battu. Cependant, frapper d’autres parties du visage est la même chose »

(Fathul-Bârî (3/164) d’Ibn Hajar)

La parole du Prophète (saw) « déchirer ses habits » implique le fait de : se déchirer les vêtements à partir de la poitrine (de l’endroit où rentre la tête). C’était la pratique des gens de l’ignorance préislamique (Jâhiliyah), leur manière de pleurer sur le mort.

Ibn Taymya (D. 728H) a dit concernant :

« comme on le faisait au temps de la Jâhiliyah » « cela signifie se lamenter sur le mort »

(Iqtidâ’us-Sirâtil-Mustaqîm (1/204) du Sheikh al-Islam Ibn Taymya)

Et d’autres ont dit : « C’est se lamenter avec détresse et désespoir. »

Ibn al-Qayim a dit :

« Faire comme au temps de la Jâhiliyah inclus également le tribalisme, l’esprit d’appartenance, faire preuve de zèle et de sectarisme vis-à-vis d’un madhhab (école de pensée), d’un parti ou d’un savant, préférer l’un à l’autre et appeler à cela, ainsi que de former des alliances et des inimitiés basées sur cela. Tous ces actes sont des formes de lamentations de la Jâhiliyah. »

Abu ‘Umâmah (ra) a rapporté que le Messager d’Allah (saw) a maudit la femme qui se frappe le visage, déchire ses habits et se lamente sur le mort (Hadith Sahih : Rapporté par Ibn Maja et également Ibn Hibban)

Ainsi c’est une preuve que ces choses font partie des grands péchés. Aussi, celui qui ne se lamente que légèrement sans être impatient face au Décret d’Allah, ni ne s’en plaints et ne dit que le bien, alors ce genre de lamentation est acceptable.

Tout comme les lamentations d’Abou Bakr  (ra) et de Fátima  (ra) lorsque le Messager d’Allah décéda. Il y a également un texte de l’imâm Ahmad concernant ce sujet.

Cependant, ce n’est pas une preuve pour l’interdiction de pleurer, puisque cela arriva dans un récit authentique : quand le Messager d’Allah (saw) apprit la mort de son fils Ibrahim, il dit :

« L’œil verse des larmes et le codeur s’afflige mais nous ne disons que ce qui plait à notre Seigneur, nous sommes vraiment tristes pour ton départ, Ô Ibrahim »

(Rapporté par al-Bukhâri et Mouslim d’Anas et Asmâ bint Yazîd)

Dans les deux Sahih, Usâmah Ibn Zayd (ra) rapporte :

« Que le Messager d’Allah (saw) alla voir l’une de ses filles (Zaynab (ra)) dont le fils était agonisant. Elle leva l’enfant et le plaça suffoquant, sur les genoux du Prophète. En le voyant ainsi, des larmes coulèrent des yeux du Prophète. Sa’d lui dit : « Ô Messager d’Allah ! Qu’est-ce que c’est ?
Il répondit : « C’est une miséricorde qu’Allah a mise dans les cœurs de Ses serviteurs. Allah, certes est Miséricordieux envers les miséricordieux » »

(Rapporté par Al-Bukhâri et Mouslim)

Les épreuves qu’affrontent les croyants

Le Messager d’Allah (saw) a dit :

« Quand Allah veut du bien à son serviteur, il lui accélère son châtiment dans ce monde. Quand Allah veut du mal à son serviteur, il s’abstient de le châtier pour ses péchés jusqu’à ce qu’il reçoive sa punition le jour de la résurrection. »

(Hadith Sahih : Authentifié par At-Tirmidhi et al-Hâkim dans al-Mustadrak)

Sa parole « Quand Allah veut du bien à son serviteur, il lui accélère son châtiment dans ce monde » signifie : qu’il est puni en étant affligé par des malheurs et des difficultés en raison des nombreux péchés qu’il a commis, grâce à quoi il est purifié de tous ses péchés, et dans l’au-delà n’aura à rendre compte d’aucun.

Shaykh al-Islâm Ibn Taymiyyah a dit :

« Les malheurs sont en fait une forme de bienfait (ni‘ma), puisqu’ils sont une expiation des péchés commis et appellent la personne à faire preuve de patience – pour laquelle elle est dûment récompensée. De plus, ils poussent la personne à se repentir, en faisant preuve d’humilité et de soumission devant Allah, tandis qu’en même temps il évite d’espérer quoi que ce soit de la création. Il y a – mis à part cela – d’autres importants avantages.
Ainsi, ces malheurs qui surviennent à une personne sont, en fait une cause de l’effacement de ses péchés par Allah, et c’est une des plus grandes bénédictions. Les malheurs sont une source de miséricorde et de bonté dans le droit des créatures, sauf si cette personne s’aventure dans une désobéissance plus grande qu’auparavant. Ce malheur deviendra alors la cause d’un grand mal pour sa religion.
En effet, certaines personnes – lorsqu’elles sont éprouvées par la pauvreté, la maladie ou la faim – tombent dans l’hypocrisie, la plainte, et leurs cœurs deviennent malades, ou tombent dans la mécréance, abandonnent certaines obligations ou commettent certains actes interdits – tout ce qui est néfaste pour leur religion. Être protégé de ces malheurs est meilleur pour lui par rapport à ce que le malheur laisse comme traces et non par rapport au malheur en lui-même, comme celui à qui le malheur apporte patience et obéissance, il aura droit à un bienfait dans sa religion (ni‘ma diniyyah).
Il représente un acte du Seigneur et une miséricorde pour les créatures, pour laquelle Il est loué. Donc quiconque est affligé d’une calamité et est muni de patience, alors cette patience est un bienfait dans la religion pour cette personne, puisque de ce fait, ses péchés sont expiés. De plus, son Seigneur lui accorde miséricorde et bénédictions, comme Allah – Le Majestueux – le dit :
« Ceux-là reçoivent des bénédictions de leur Seigneur, ainsi que la miséricorde; et ceux là sont les biens guidés. »
(Coran 2 Verset 157)
Une telle personne est aussi pardonnée par son Seigneur pour ses péchés, et est élevée a un rang supérieur – tout ceci est pour celui qui fait preuve de patience ».

(Résumé de Majmou’ al-Fatâwâ (10/48) d’Ibn Taymiyyah)

La parole du Prophète (saw) :

« Quand Allah veut du mal à son serviteur, il s’abstient de le châtier pour ses péchés jusqu’à ce qu’il reçoive sa punition le jour de la résurrection. »

Signifie : la punition pour ses péchés est retardée « jusqu’à ce qu’il reçoive sa punition le  jour de la résurrection. »

Al-‘Azîzî (D. 1070H) a dit :

« Cela signifie qu’une telle personne n’est pas punie dans ce monde, afin que dans l’au-delà, elle soit punie pour ses péchés d’une manière qu’elle mérite vraiment »

(as-Sirâjul-Munîr (1/88) d’al-Azîzî)

Le hadith cité plus haut, est une leçon et un rappel pour quiconque espère en Allah, et a une bonne opinion de Lui dans ce qu’Il a écrit pour une personne, tel qu’Allah le dit :

« Il se peut que vous ayez de l’aversion pour une chose alors qu’elle vous est un bien. Et il se peut que vous aimiez une chose alors qu’elle vous est mauvaise. C’est Allah qui sait, alors que vous ne savez pas. »

(Coran 2 Verset 216)

Les récompenses sont proportionnelles aux afflictions

Le Prophète (saw) a dit :

« La grandeur de la récompense va de pair avec la grandeur de l’épreuve. Allah le Très-Haut, quand Il aime un peuple, l’éprouve. Celui qui accepte l’épreuve avec abnégation aura la satisfaction d’Allah, et celui qui lui oppose son mécontentement, Dieu sera mécontent de lui »

(Hadith Hasan : Rapporté par at-Tirmidhy et Ibn Maja d’après Anas)

De plus, le Prophète (saw) a aussi dit :

« Quand Allah aime un peuple, Il l’éprouve. Quiconque fait preuve de patience, fait partie des patients et quiconque s’en indigne, fait partie des indignés »

(Hadith Sahih : Rapporté par Ahmad d’après Mahmûd Ibn Lubayd)

La signification du premier hadith est : plus l’affliction est grande et plus la récompense est importante. Il est dit : En effet, les malheurs sont une source de récompense, ainsi qu’une expiation des péchés. L’avis le plus juste pour Ibn ul-Qayim est que la récompense est juste l’expiation des péchés, sauf si elle est une cause pour œuvrer dans le bien, comme la patience, l’acceptation (du malheur), le repentir et la demande de pardon. Il est donc récompensé pour ce qui en aura résulté. En raison de cela, il a été dit que le sens du hadith est : En effet, la récompense est proportionnelle au malheur, à condition qu’il y ait patience et espoir de la récompense.

De même que dans le hadith de Sa’d (ra) :

« Le Prophète (saw) fut questionné : « Quels sont ceux qui subissent les épreuves les plus difficiles ?».
Il (saw) dit : « Ceux qui ont les épreuves les plus difficiles sont les prophètes, puis ceux qui les suivent le mieux, puis ceux qui les suivent ; l’homme est éprouvé selon sa religion ; s’il tient bien à sa religion, son épreuve est plus difficile ; et s’il est souple dans sa religion, il est éprouvé selon sa religion ; et le serviteur ne cesse d’être soumis à l’épreuve jusqu’à ce qu’il marche sur terre sans avoir aucun péché (comme les anges) ». »

(Rapporté par Ahmad, at-Tirmidhy et Ibn Maja)

Cependant, al-Qâdî Abû Ya’lâ ne l’a pas considéré obligatoire, et c’est l’avis le plus juste pour Shaykh al-Islam Ibn Taymiyyah  et’Ibn al- Qayyim.

Shaykh al-Islam Ibn Taymiyyah a dit :

« Il y a un ordre spécifique lié à la patience, alors qu’il n’y en a pas pour le ridâ. Il y a plutôt des éloges pour ceux qui font preuve de ridâ (avec le Décret d’Allah). »
De plus, il a dit :
« Cette narration : « Celui qui ne fait pas preuve de patience lors de Mes afflictions, ni ne fait preuve de ridâ avec Mon Décret, s’est attribué un Seigneur autre que Moi ». Cette narration est l’une des Isrâ’îliyat (Israélite), elle n’est pas authentiquement rapportée par le Prophète (saw)».

Shaykh al-Islam Ibn Taymiyyah a également dit

« En effet, il existe un rang plus élevé que le ridâ, c’est le fait de faire preuve de gratitude (Shukr) envers Allah lors des malheurs, puisque c’est un bienfait d’Allah sur lui. »

(Majmou’ al-Fatâwâ (11/260) d’Ibn Taymiyyah)

Et Allah seul détient La Vérité
Sur ce, Que la Paix de Dieu soit sur vous et vous accompagne partout où vous êtes.

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