Rappels Islamiques

Jour 10 : La Sunna


Louange à Allah, que la prière et le salut soient sur son prophète Mohamed sur sa famille et sur tous ceux qui le suivent jusqu’au jour de la résurrection.


La Sunna du Prophète (saw) est fondée et dégagée à partir des dires, des faits et des décisions du Prophète (saw), les principes qui devaient permettre aux musulmans de vivre l’ensemble des faits, gestes, expériences et vécu de notre Saint Prophète (saw), qu’on appel Hadith.

Hadith est un mot arabe qui veut dire propos. Après la mort du Prophète Mohammed (saw), lorsque les nouveaux musulmans étaient confrontés à un problème de la vie de tous les jours, ils n’avaient personne vers qui se tourner. En effet, si la solution ne se trouvait pas dans le Coran, comment savoir s’ils étaient dans le droit chemin ? C’est pourquoi, ils prirent l’habitude de se tourner vers les compagnons du Prophète (saw) et de leur demander comment il aurait réagit face à telle ou telle situation. Et le Prophète (saw) a dit :

« Suivez le Coran et ma sounna »

On a donc désigné par hadiths les propos tenus par le prophète Mohammed. Par extension, on a appelé hadiths, toutes les paroles (aqwâl), actes (afâl) ou les situations qui se sont déroulées devant les yeux du Prophète (saw) et qu’il a tacitement approuvées (taqir).

Depuis, chacun a commencé à interroger tous les compagnons du Prophète (saw) ou leurs descendants afin de recueillir quelques témoignages. Ce n’est que dès le IIIème siècle de l’islam (le IXème siècle de l’ère chrétien) que la nécessité s’est fait ressentir de constituer des recueils complets de hadiths (en effet, de nombreux faux s’étaient insérés dans l’ensemble des récits que l’on faisait sur le Prophète (saw). Il existe actuellement six grands recueils de hâdiths qui font autorité dans le monde musulman sunnite. Ces recueils éclairent donc les croyants sur les manières de pratiquer la religion, des problèmes de droits, de commerce ou des détails concernant la vie publique ou privée des individus.

De nos jours, l’ensemble des hadiths composent ce que l’on appelle la Sunna (la tradition musulmane). Cette sunna est devenue la deuxième source textuelle de l’islam après le Coran.

Aussi, Le saint Coran et la Sunna sont les deux sources principales pour toute personne désireuse de connaître les règles de l’islam. Le Coran met l’obéissance au Prophète (saw) sur le même plan que celle due à Allah.

Allah dit :

« Quiconque obéit au Messager obéit certainement à Allah. … »

(Coran 4 Verset 80)

Les “Sciences de la Sunna” (‘uloum al-Sunna) réfèrent à la biographie du Prophète (saw), ses paroles et actes de tous les jours ou « cheminement » (sunnan) incluant ses qualités morales et personnelles (shama’il), et accueillent également les sciences auxiliaires aux sciences du hadith, comme les circonstances de l’événement (asbab al-wurud), la connaissance des hadiths abrogés et abrogeant, les hadith qui posent problème dans leur compréhension (gharib al-hadith), la critique et l’appréciation des narrateurs (al-jarh wal-ta`dil), les biographies (al-rijal), etc. Ce sens est utilisé par opposition au Coran dans des expressions comme : « Coran et Sunna » et s’applique à l’usage des Savants du Hadith.

Le Hadith est deux sortes

Le Hadith Qodsi (divin)

Ce sont les Hadiths que le Prophète (saw) rapporte directement au nom d’Allah. C’est en quelques paroles d’Allah dite par le Prophète (saw), comme ce Hadith qui dit : 

« Certainement Je suis comme Mon serviteur M’a présumé être, Je suis avec lui à chaque fois qu’il Me mentionne, s’il Me mentionne en lui-même, Je le mentionnerai en Moi-même, s’il Me mentionne en public, Je le mentionnerai devant un public meilleur encore, s’il s’approche de Moi d’un empan, Je Me rapproche de lui d’une coudée, et s’il s’approche de Moi d’une coudée, Je Me rapproche de lui d’une brasse, et s’il vient à Moi à petits pas, Je M’avancerai à toute vitesse. »

(Rapporté par Boukhari et Mouslim)

Il ne s’agit pas là de Coran, car celui-ci -expression et contenu- émane d’Allah et est, de ce fait, inimitable.

La Sunna a pour rôle d’expliciter ce qui a été dit brièvement dans le Coran. Elle explique en détails ses lois et ses préceptes. Il arrive des fois qu’elle décrète de nouvelles lois. Celles–ci sont alors le fruit d’une inspiration divine au plan du contenu, autrement dit l’idée est d’Allah, mais l’expression est de Mohamed (saw). Ne font pas partie de la Sunna les mouvements innés du Prophète (saw), comme sa façon de marcher par exemple.

 Le Hadith de tradition

Il s’agit ici de paroles dites par le Prophète (saw) loin de toute inspiration divine directe. C’est le Prophète lui-même qui s’exprime sur les choses de la vie.

Dans la Sunna, on y trouve de tout : des ordres et des interdictions, des directives et des conseils, des prières et des invocations, les discours, ces paroles, ces directives etc… Tous les dires du Prophète (saw), ses actions et ses décisions sont des explicitations des préceptes islamiques dont la base est le Coran.

Allah dit :

« … Et vers toi, nous avons fait descendre le Coran, pour que tu exposes clairement aux gens ce qu’on a fait descendre pour eux et afin qu’ils réfléchissent. »

(Coran 16 Verset 44)

Ainsi, la Sunna explique le coran, l’explicite, le commente. Prenant le cas de la prière, Allah a ordonné la prière : son accomplissement, sa préservation, la continuité en cela, et il a menacé ceux qui la délaissent et suivent leurs désirs.

Mais on ne trouve pas dans le coran de détails sur la prière : quel est le nombre de ses rak’âts, ni de la station debout, l’inclinaison et la prosternation, et quels sont les détails de la prière ? Tout cela ne se trouve pas dans le coran, mais dans la Sunna.

Un homme interrogea ‘Imrân Ibn Husayn (ra) qui lui répondit en citant un hadîth.

L’homme dit alors :

« Référez-vous au Livre d’Allah et ne vous référez à rien d’autre. »
‘Imrân dit alors : « Tu es un homme sans raison ; trouves-tu dans le Coran : la prière du Dhouhr compte quatre rak‘a récitées à voix basse… »
Il lui cita les autres prières, ainsi que la zakat et les autres actes cultuels. Ensuite, il dit : « Trouves-tu ceci détaillé et explicité dans le Livre d’Allah ? Le livre d’Allah a instauré ceci d’une façon générale et la sunna l’a détaillé et explicité. »

(Rapporté dans « kitâb al-‘ilm » d’Al-Maqdisî)

Le Prophète (saw) a dit :

« Priez comme vous m’avez vu prier. »

(Rapporté par Boukhari) 

De même pour la zakât, Allah l’a ordonnée de manière globale dans le coran, sans en exposer la valeur, les types de bien qui y sont soumis, mais il l’a uniquement ordonnée de manière globale.

Allah a dit :

« accomplissez la Salât, acquittez la Zakât, et inclinez-vous avec ceux qui s’inclinent »

(Coran 2 Verset 43)

Celui qui l’explicite est le Messager (saw). Il a exposé ce qu’était la zakât : quand elle était obligatoire, quels étaient les biens soumis à la zakât, la valeur de ce que l’on doit acquitter en zakât. et il en est de même pour le jeûne, le pèlerinage et pour toutes les adorations, leurs détails ont été rapportés du Prophète (saw).

Allah dit :

« Dis : « Obéissez à Allah et obéissez au messager. S’ils se détournent,…il (le messager) n’est alors responsable que de ce dont il est chargé; et vous assumez ce dont vous êtes chargés. Et si vous lui obéissez, vous serez bien guidés ». Et il n’incombe au messager que de transmettre explicitement (son message) »

(Coran 24 Verset 54)

Allah ordonne explicitement d’accepter ce qu’apporte le Messager d‘Allah (saw) sans faire de distinction entre le Coran et la Sunna.

Le Prophète (saw) a dit :

« J’ai laissé parmi vous deux choses, vous ne vous égarerez jamais tant que vous vous y accrocherez : le livre d’Allah et ma Sunna. »

(Rapporté par Ahmad)

La Sunna

Les deux principales sources de la théologie islamique sont le Coran et la Sunna. Le Coran est le recueil, de dimensions somme toute modestes (6235 versets), des paroles que le Prophète (saw) a reçues en état de Révélation.

Les propos qu’il a pu tenir en dehors des instants de Révélation, ainsi que les témoignages sur les actes qu’il a pu accomplir dans sa vie publique ou privée et les ratifications silencieuses (taqrîrât) de tel ou tel acte de sa part, sont intégrés dans des récits qu’on appelle des hadith et dont l’ensemble forme la Sunna (« manière de vivre du Prophète« ).

Le Fiqh

L’étude systématique du hadith à des fins éthiques et juridiques s’appelle le fiqh (« scruter attentivement« ) et le résultat en est la sharî`a (« fil conducteur dans la vie« ).

Le mot Fiqh est un substantif dérivé du verbe ‘‘faqiha’’ qui signifie : comprendre, s’instruire. Dans le langage courant, le mot Fiqh signifie compréhension ou connaissance. Le verbe faqiha figure dans vingt versets du Coran, parmi lesquels ceux-ci :

« …Mais vous ne comprenez pas leur façon de Le glorifier… »

(Coran 17 Verset 44)

« …Mais qu’ont-ils ces gens, à ne comprendre aucune parole? »

(Coran 4 Verset 78) 

« … Leurs cœurs ont été scellés et ils ne comprennent rien. »

(Coran 9 Verset 87)

Le sens du mot Fiqh s’étend aussi au savoir, à la science. Ainsi, tout savoir d’une chose est un Fiqh. Le Fiqh islamique, c’est l’ensemble des connaissances acquises au moyen de l’exégèse du Coran ou de la Sunna, destinées à préciser les règles et les modalités pratiques concernant les cultes (l’adoration), les droits et les devoirs, les relations et les activités humaines dans le cadre de la religion.

Le Fiqh régit les activités des individus et des groupes dans toutes les situations et dans tous les domaines de la vie, cultuel, moral, politique, économique, juridique, social, culturel depuis la naissance jusqu’à la mort.

Il ne faut pas confondre le Fiqh avec la Chari’a. La Chari’a est l’ensemble des règles, des préceptes et des enseignements issus de la révélation (Coran et Sunna). Le Fiqh est la méthode d’interprétation et d’application de ces règles, préceptes et enseignements, soit directement, soit indirectement par des méthodes d’analyse et de raisonnement déductif et analogique tels que le consensus, l’analogie, le jugement préférentiel, etc.

Tous les problèmes et les faits sociaux peuvent trouver leurs solutions dans le Coran et la Sunna ou par le moyen des méthodes interprétatives du Fiqh.

Le Faqih n’est pas seulement un juriste au sens juridique du terme, il est à la fois homme de loi et de sciences religieuses.

La Sunna et le hadîth

La Sounna est un immense corpus littéraire qui s’est cristallisé au 3ème/9ème siècle après une longue période d’élaboration. Il est né de la nécessité historique, dans le cas où le Coran était silencieux. Prenons l’exemple de la prière. Le Coran établit l’obligation générale de la prière (Coran 73/20, 20/14 etc…), sans cependant en donner la liturgie. C’est précisément à la Sounna que revient de la donner : les formules à prononcer, les attitudes du corps, les ablutions, la préparation mentale (niyya).

Un compagnon témoigne qu’il a vu le Prophète (saw) commencer la prière par telle ou telle formule, un autre qu’il la terminait par telle autre, qu’il élevait les mains à telle hauteur pendant l’invocation du début de la prière, qu’il procédait de telle manière à l’enchaînement de la prière, que pendant les ablutions il reniflait une, deux ou trois fois l’eau dans les narines. Un hadith, c’est un témoignage ponctuel sur la vie du Prophète (saw), ou sur l’une de ses paroles. C’est, en général, un texte fort bref de quelques lignes. Il y a des hadiths d’une page ou plus, mais ils sont extrêmement rares. 

Mais l’analogie a ses limites. Les hadiths sont classés soit par affinités ou par sujets (c’est le genre musannaf), soit par traditeurs (c’est le genre musnad). Quand il y a une trame chronologique, on passe à un autre genre littéraire, la Sîra. La Sîra, c’est la biographie théologique du Prophète (saw), tout comme un Evangile, c’est la biographie théologique de Jésus (as). Mais, pour l’islam, la Sîra n’est pas canonique. Elle n’est pas considérée comme source de la théologie, de l’éthique et du droit. Ce sont le Coran et la Sunna qui jouent ce rôle.

C’est là un premier sujet d’étonnement pour un Occidental de tradition chrétienne, ce n’est pas la vie du Prophète (saw) dans son ensemble, mais dans chacun de ses instants pris individuellement, comme figé dans un plan photographique. C’est chaque instant de la vie du Prophète (saw) qui est pour le musulman paradigme et norme.

Alors qu’il n’y a qu’un seul Coran, il y a plusieurs recueils canoniques de hadiths, qui se sont imposes petit à petit dans la communauté musulmane par consensus, puisqu’il n’y a pas d’autorité dogmatique centrale en islam comme dans le catholicisme. 

Cette liste n’est pas exhaustive de recueils de Hadîths authentiques, ni Boukhari ni Mouslim n’ont pas prétendu établir des recueils de Hadîths exhaustif, ils ont seulement répondu à certaines conditions très strictes d’authenticité et présente donc au public un ensemble de Hadîths répondant à ces conditions. 

Ces recueils sont au nombre de six, constitués au 9ème siècle. Il s’agit de :

• Boukhârî (m. 256/870) : al-Djâmi` as-Sahîh (en abrégé Sahîh), 7397 hadiths dont 2762 différents (il y a, en effet, de nombreux doublets).

• Mouslim (m. 261/875) : al-Djâmi` as-Sahîh, environ 4000 hadiths différents, beaucoup plus si on compte les doublets

• Abou Dâwoud (m. 275/889) : Kitâb as-Sunan, 5273 hadiths

• Tirmidhî (m. 279:892) : Kitâb al-Djâmi`, 3956 hadiths)

• Nasaï(m. 303/915) : Kitâb as-Sunan, environ 2800 hadiths.

 Ibn Maja(m. 273/886) :  Kitab as-Sunan, 4341 hadiths.

Ce dernier recueil eut le plus de mal à s’imposer, puisque, par exemple, Ibn Khaldoun (m. 808/1406) ne parle que de cinq livres et ne reconnaît donc pas les Sounan d’Ibn Maja.

D’autres recueils jouissent également d’une très haute estime, et servent aussi de fondement au Fiqh, notamment le Kitâb al-Muwatta’ de Mâlik b. Anas (m. 179/795), manuel de l’école malékite, et le Musnad d’Ahmad b. Hanbal (m. 241/855), ouvrage de base de l’école hanbalite, qui est le plus volumineux de tous (28 000 à 29 000 hadiths). Le Musnad classe les hadiths par traditeurs. Il s’ouvre par la section des hadiths transmis par Abû Bakr (ra), puis continue par celles des hadiths transmis par Omar, Othman, `Ali, Talha b. Oubayd’Allah (ra) etc… Ce classement n’est guère pratique. Si on veut consulter des traditions sur des sujets particuliers, il faut lire des centaines de pages sans intérêt particulier avant de trouver ce que l’on cherche. Aussi les Six Livres Canoniques sont-ils classés par sections (kitâb) qui correspondent aux grandes divisions du fiqh.

Tous ces ouvrages comme d’autres encore, notamment le Musnad de Dârimi, sont des recueils de traditions, les plus anciens du monde islamique qui nous soient parvenus. Le hadith s’y trouve pour ainsi dire à l’état brut. Le Kitâb al-Umm de Shâfi`î (m. le dernier jour de radjab 204 / 20 janvier 820), ouvrage de base de l’école chaféite, n’est plus un recueil de traditions, mais déjà un manuel de fiqh où les hadiths sont cités comme arguments dans des raisonnements juridiques ou théologiques. Quant à l’école hanéfite, son fondateur Abou Hanîfa na pas laissé d’ouvrage écrit.

Il est à noter qu’aucun des Six Livres Canoniques n’est le livre de référence privilégié d’un madhab (école théologico-juridique). Quant aux ouvrages qui le sont (le Musnad d’Ibn Hanbal et le Kitâb al-Muwatta‘ d’Anas b. Mâlik), ils ne sont précisément pas canoniques.)

Ajoutons à cela que le genre littéraire du recueil de hadiths ne s’éteindra pas avec le 9è s., il sera cultive tout au long de l’histoire de l’islam. Le 11è siècle verra notamment l’éclosion du volumineux (10 gros volumes) Kitâb as-Sunan de Bayhaqî (m. 458/1066).) Tous ces ouvrages fournissent la matière première de la charia.

Le monde du hadith

Le hadith est une composante absolument essentielle de la théologie islamique : que l’on soit en théologie « dogmatique« , en mystique, en fiqh, chaque affirmation est fondée avec une régularité quasi automatique par des citations coraniques et des citations de hadiths. Le hadith, est la brique fondamentale de la théologie et de la pensée islamiques. On trouvera donc non seulement des hadiths dans les recueils de hadiths, mais dans tout ouvrage à caractère religieux : théoologie spéculative (kalâm), mystique (tasawwuf), éthique et droit (fiqh), savoir-vivre (adab)… .

La littérature du hadith est absolument déconcertante et déroutante pour le lecteur occidental. Bien que touchant à tous les aspects de la vie, elle apparaît au premier abord avec l’aspect rébarbatif d’une littérature très technique. Les hadiths sont classés par thèmes selon les grandes divisions du fiqh et à l’intérieur de chaque section par chapitres (bâb), sans que la logique des classements soit toujours évidente. On a vu plus haut que les hadiths ne présentent pas la vie du Prophète (saw) dans son développement chronologique, naturel, historique, comme la Sîra par exemple.

Chacun d’entre eux rapporte simplement un acte singulier, une citation d’une parole ou un avis du Prophète (saw) dans sa vie quotidienne. La vie du Prophète (saw) y est donc découpée en une myriade d’instants. Le Musnad d’Ibn Hanbal contient ainsi 29 000 hadiths, ce qui veux dire 29 000 instants de la vie quotidienne du Prophète (saw) qui ont valeur juridique pour la Communauté, chaque instant de la vie du Prophète (saw)  même dans ses activités les plus humbles et les plus intimes (manger, aller au lit, relations sexuelles), parce que pour l’islam, la vie du Prophète (saw) s’est passée en totale conformité avec la parole de Dieu et sa volonté. Chaque instant de la vie du Prophète (saw) pris un à un est donc un vivant commentaire de la Parole divine. Ce qui veut dire qu’il n y a pour l’Homme ordinaire aucun acte naturel, fût-il le plus anodin : tout acte de la vie quotidienne est le modèle idéal. On touche ici du doigt une réalité de l’histoire des religions.


Et Allah seul détient La Vérité
Sur ce, Que la Paix de Dieu soit sur vous et vous accompagne partout où vous êtes.

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