La supercherie de la théorie de l’évolution
Tiré de "DES SECRETS DU CORAN" de HARUN YAHYA
Louange à Allah, que la prière et le salut soient sur son prophète Mohamed sur sa famille et sur tous ceux qui le suivent jusqu’au jour de la résurrection.
Chaque détail dans cet univers est le signe d’une création supérieure.
A l’inverse, le matérialisme, qui cherche à nier la réalité de la création dans l’univers, n’est qu’une tromperie qui n’a rien de scientifique.
Une fois le matérialisme infirmé, toutes les autres théories fondées sur cette philosophie deviennent caduques. La principale d’entre elles est le darwinisme, autrement dit, la théorie de l’évolution.
Cette théorie, qui soutient que la vie est née de matière inanimée par pure coïncidence a été démolie par la reconnaissance que l’univers a été créé par Dieu. Un astrophysicien américain, Hugh Ross, nous l’explique ainsi:
« L’athéisme, le darwinisme et quasiment tous les « ismes » émanant des philosophies du dix-huitième au vingtième siècles sont bâties sur la supposition, supposition incorrecte, que l’univers est infini. La singularité nous a amenés face à la cause – ou à son auteur – au-delà de/derrière/ avant l’univers et tout ce qu’il contient, y compris la vie elle-même. »
(Hugh Ross, The Fingerprint of God, p. 50)
C’est Dieu qui a créé l’univers et qui l’a conçu dans le moindre détail. De ce fait, il est impossible que la théorie de l’évolution, qui soutient que les êtres vivants n’ont pas été créés par Dieu mais sont le produit de coïncidences, soit vraie.
C’est sans surprise, à l’analyse de la théorie de l’évolution, que nous la voyons dénoncée par les découvertes scientifiques. La conception dans la vie est extrêmement complexe et étonnante. Dans le monde inanimé, par exemple, nous pouvons explorer la fragilité des équilibres sur lesquels reposent les atomes et plus loin, dans le monde animé, nous pouvons observer la complexité de la conception qui a uni des atomes et combien extraordinaires, en tant que mécanismes, sont des structures telles que les protéines, les enzymes et les cellules, qui en sont produits.
Cette conception extraordinaire de la vie a réfuté le darwinisme à la fin du 20ème siècle.
L’effondrement scientifique du darwinisme
Bien que cette doctrine remonte à la Grèce antique, la théorie de l’évolution n’a été largement promue qu’au 19ème siècle. Le développement le plus important qui a irrésistiblement propulsé cette théorie comme sujet majeur dans le monde scientifique est la publication en 1859 du livre de Charles Darwin intitulé L’origine des espèces. Dans ce livre, Darwin a nié que les différentes espèces vivantes sur terre aient été créées séparément par Dieu. Selon Darwin, tous les êtres vivants avaient un ancêtre commun et se sont diversifiés à travers le temps par suite de petits changements.
La théorie de Darwin n’était basée sur aucune découverte scientifique concrète; comme il l’a lui-même admis, il ne s’agissait en fait que d’une « hypothèse« . De plus, comme il le reconnaissait dans le long chapitre de son livre intitulé « les difficultés de la théorie« , la théorie n’avait pas de réponse à beaucoup trop de questions cruciales.
Darwin a donc investi tous ses espoirs dans les nouvelles découvertes scientifiques, qu’il espérait voir résoudre « les difficultés de la théorie« . Cependant, contrairement à ses espérances, les découvertes scientifiques ont étendu les dimensions de ces difficultés.
La défaite du darwinisme contre la science peut être résumée en trois points essentiels:
1) La théorie ne peut en aucun cas expliquer comment la vie a été produite sur terre.
2) Il n’existe aucune découverte scientifique montrant que les » mécanismes évolutionnistes » proposés par la théorie aient quelque pouvoir de se développer.
3) Les fossiles à notre disposition montrent tout à fait l’opposé de ce que suggère la théorie de l’évolution.
Nous examinerons brièvement ces trois points essentiels:
La première étape insurmontable: l’origine de la vie
La théorie de l’évolution pose pour principe que toute les espèces vivantes se sont développées à partir d’une cellule vivante unique qui est apparue sur terre il y a 3,8 milliards d’années. Mais la théorie de l’évolution ne peut répondre au fait de savoir comment une seule cellule a pu produire des millions d’espèces vivantes aussi complexes. Et si une telle évolution s’est vraiment produite, pourquoi les traces de cette évolution ne peuvent être observées dans les fossiles répertoriés?
Mais, tout d’abord, nous devons analyser le premier stade du processus évolutionniste présumé. Comment est apparue cette » première cellule « ?
Comme la théorie de l’évolution nie la création et n’accepte aucune sorte d’intervention surnaturelle, elle entretient l’idée que « la première cellule » est accidentellement née selon les lois de la nature, mais sans aucune conception préalable, ni plan, ni arrangement d’aucune sorte. Selon la théorie, la matière inanimée doit avoir produit accidentellement une cellule vivante. C’est, hélas, une revendication incompatible avec les règles élémentaires des sciences biologiques.
La vie vient de la vie
Dans son livre, Darwin n’a jamais mentionné l’origine de vie. Les connaissances scientifiques primitives à son époque étaient fondées sur la supposition que les êtres vivants avaient une structure très simple. Depuis les temps médiévaux, la génération spontanée est une théorie qui était largement partagée. Elle affirme que des matières non-vivantes se sont associées pour former des organismes vivants. On croyait généralement que les insectes naissaient des restes de la nourriture et que les souris provenaient du blé. D’intéressantes expériences ont été conduites pour démontrer la véracité de cette théorie. Du blé a été placé sur un chiffon sale en pensant que des souris allaient en sortir au bout d’un moment.
L’apparition de vers sur la viande a été également considérée comme une preuve de génération spontanée. Cependant, quelque temps plus tard on a compris que les vers ne sont pas apparus sur la viande spontanément, mais y ont été transportés par des mouches sous forme de larves, invisibles à l’œil nu.
Même durant la période où Darwin a écrit L’origine des espèces, l’idée que les bactéries pouvaient apparaître de la matière inanimée était largement acceptée dans le milieu scientifique. Mais, cinq ans après la publication du livre de Darwin, la découverte de Louis Pasteur a réfuté cette croyance qui constituait la base de la théorie de l’évolution. Après une longue période consacrée à la recherche et l’expérimentation, Pasteur conclut de façon définitive:
« La revendication que la matière inanimée peut produire la vie est enterrée dans l’histoire pour toujours. »
(Sidney Fox, Klaus Dose, Molecular Evolution and The Origin of Life, New York: Marcel Dekker, 1977. p. 2)
Les avocats de la théorie de l’évolution se sont longtemps opposés aux découvertes de Pasteur. Cependant, comme le développement de la science a révélé combien était complexe la structure de la cellule d’un être vivant, l’idée que la vie puisse naître accidentellement fait face à une plus grande impasse.
Les efforts peu concluants du 20ème siècle
Le premier évolutionniste à s’être intéressé à la question de l’origine de vie au 20ème siècle était le célèbre biologiste russe, Alexandre Oparin. Il propose diverses thèses dans les années trente (1930) pour tenter de prouver que la cellule d’un être vivant pouvait être le fruit du hasard. Ces études, cependant, étaient condamnées à l’échec et Oparin a dû faire la confession suivante:
« Malheureusement, l’origine de la cellule reste en réalité une question qui est le point le plus sombre de toute la théorie de l’évolution. »
(Alexander I. Oparin, Origin of Life, (1936) New York, Dover Publications, 1953 (Réimpression), p. 196)
Les disciples évolutionnistes d’Oparin ont essayé de continuer les expériences pour résoudre l’énigme de l’origine de vie. L’expérience la plus célèbre est celle du chimiste américain Stanley Miller, en 1953. Lors de son expérience, il associe les gaz qu’il prétendait exister dans l’atmosphère initiale de la terre puis y ajoute de l’énergie.
Miller réussit à synthétiser plusieurs molécules organiques (des acides aminés) présentes dans la structure des protéines. Mais il n’a fallu que quelques années pour apprendre que cette expérience, qui avait alors été présentée comme un pas important au nom de l’évolution, était invalidée et que l’atmosphère utilisée dans l’expérience différait largement de celle des conditions réelles de la terre.
(« New Evidence on Evolution of Early Atmosphere and Life », Bulletin of the American Meteorological Society, vol. 63, novembre 1982, pp. 1328-1330)
Après un long silence, Miller reconnaissait que les conditions atmosphériques mises en place n’étaient pas réalistes. (Stanley Miller, Molecular Evolution of Life: Current Status of the Prebiotic Synthesis of Small Molecules, 1986, p. 7)
Tous les efforts des évolutionnistes tout au long du 20ème siècle pour expliquer l’origine de la vie se sont soldés par un échec. Jeffrey Bada, géochimiste de l’Institut Scripps de San Diego, le reconnaît dans un article qu’il publie dans le magazine Earth en 1998:
« Aujourd’hui, alors que nous quittons le vingtième siècle, nous nous trouvon toujours face au plus grand problème non résolu que nous avions quand nous avions entamé le 20ème siècle: quelle est l’origine de la vie sur terre? »
(Jeffrey Bada, Earth, février 1998, p. 40)
La structure complexe de vie
La raison principale pour laquelle la théorie de l’origine évolutionniste de la vie s’est trouvée dans une impasse majeure est que même les organismes vivants considérés comme les plus simples ont des structures incroyablement complexes. La cellule d’un être vivant est plus complexe que tous les produits technologiques développés par l’homme. Aujourd’hui, même dans les laboratoires les plus développés dans le monde, une cellule vivante ne peut être produite uniquement en associant des matières inorganiques.
Les conditions requises pour la formation d’une cellule sont trop importantes en termes de quantité pour pouvoir accepter l’idée de coïncidences comme explication convaincante. La probabilité que les protéines, les composantes de la cellule, soient synthétisées par hasard est de l’ordre de 1 pour 10950 pour une protéine moyenne composée de 500 acides aminés.
En mathématiques, une probabilité aussi petite que 1 pour de 1050 est pratiquement considérée comme étant de l’ordre de l’impossible.
La molécule d’ADN, qui se trouve dans le noyau de la cellule et qui stocke l’information génétique, est une banque de données incroyable. Selon les calculs établis, si l’information codée de l’ADN était retranscrite, on obtiendrait l’équivalent d’une bibliothèque géante composée de 900 volumes d’encyclopédies de 500 pages chacun.
A ce stade, nous sommes confrontés à un dilemme très intéressant: l’ADN ne peut se reproduire qu’à l’aide de quelques protéines spécialisées (des enzymes). Et la synthèse de ces enzymes ne peut être obtenue qu’en utilisant l’information codée de l’ADN. Mais comme ils dépendent l’un de l’autre, ils doivent exister en même temps pour que la reproduction se fasse. Ce qui met dans impasse totale le scénario de la vie produite par elle-même. Le célèbre évolutionniste, le professeur Leslie Orgel, de l’Université de San Diego en
Californie, le reconnaît dans la publication de septembre 1994 du magazine Scientific American:
« Il est extrêmement improbable que des protéines et des acides nucléiques, tous deux structurellement complexes, aient surgi spontanément au même endroit, en même temps. Tout comme il semble impossible d’avoir l’un sans l’autre. Et donc, à priori, il est possible de conclure que la vie n’a jamais pu être le résultat de réactions chimiques. »
(Leslie E. Orgel, « The Origin of Life on Earth », Scientific American, vol. 271, octobre 1994, p. 78)
S’il est impossible que la vie soit apparue suite à des causes naturelles, alors l’idée qu’elle a été « créée » de façon surnaturelle doit être admise. Ce fait contredit clairement la théorie de l’évolution dont le but principal est de nier l’idée de création.
Les mécanismes imaginaires de l’évolution
Le deuxième élément important qui remet en question la théorie de Darwin est que les deux concepts clefs de la théorie, considérés comme « des mécanismes évolutionnistes« , n’avaient en fait aucune réalité évolutionniste.
Darwin a entièrement fondé sa théorie de l’évolution sur le mécanisme de la « sélection naturelle« . L’importance qu’il a placée sur ce mécanisme était évidente au nom même de son livre: L’origine des espèces, au moyen de la sélection naturelle…
Pour la sélection naturelle, les êtres vivants qui sont les plus forts et les mieux adaptés aux conditions naturelles de leur environnement sont les seuls à pouvoir survivre dans la lutte pour la vie. Ainsi, dans un troupeau de cerfs sous la menace d’animaux sauvages, seuls les plus rapides survivent. De ce fait, le troupeau de cerfs sera composé uniquement des individus les plus rapides et les plus forts. Mais il est incontestable que ce mécanisme n’entraîne aucune évolution du cerf et ne le transforme pas plus en une autre espèce vivante telle que le cheval.
Le mécanisme de sélection naturelle n’a donc aucun pouvoir évolutionniste. Darwin en était totalement conscient et a dû l’exposer dans son livre L’origine des espèces en disant:
« La sélection naturelle ne peut rien faire jusqu’à ce que des variations favorables aient la chance de se produire. »
(Charles Darwin, The Origin of Species: A Facsimile of the First Edition, Harvard University Press, 1964, p. 189)
L’influence de Lamarck
Ainsi, comment ces » variations favorables » pourraient-elles se produire? Darwin a essayé de répondre à cette question en se fondant sur la connaissance scientifique limitée de son époque. Selon le biologiste français Lamarck, qui a vécu avant Darwin, les créatures vivantes transmettaient les caractéristiques acquises pendant leur vie à la génération suivante. Ces caractéristiques, s’accumulant d’une génération à une autre, entraînent la formation d’une nouvelle espèce. Selon Lamarck, les girafes, à titre d’exemple, auraient évolué à partir des antilopes; ayant lutté pour manger les feuilles des grands arbres, leurs cous se seraient allongés de génération en génération. Darwin a aussi proposé des exemples similaires, et dans son livre L’origine des espèces, a, par exemple, affirmé que certains ours qui se rendaient dans l’eau pour trouver de la nourriture étaient transformés en baleines avec le temps. (Charles Darwin, The Origin of Species: A Facsimile of the First Edition, Harvard University Press, 1964, p. 184)
Cependant, les lois de l’hérédité découvertes par Mendel et vérifiées par la science de la génétique, qui s’est développée au 20ème siècle, ont complètement démoli la légende selon laquelle des caractéristiques seraient transmises aux générations suivantes. Ainsi, la théorie de la sélection naturelle est tombée en « disgrâce » en tant qu’élément dans l’histoire de l’évolution.
Le néodarwinisme et les mutations
Pour trouver une solution, les darwinistes ont avancé l’idée de « la théorie synthétique moderne« , ou comme on la connaît plus généralement le néodarwinisme vers la fin des années 1930. A la sélection naturelle, le néodarwinisme a ajouté les mutations qui sont des altérations formées dans les gènes des créatures vivantes en raison de facteurs externes comme la radiation ou des erreurs de reproduction comme étant « la cause de variations favorables« .
Aujourd’hui, le modèle qui représente la théorie de l’évolution dans le monde est le néodarwinisme La théorie maintient que des millions de créatures vivantes sur la terre formées suite à un processus par lequel de nombreux organes complexes de ces organismes comme les oreilles, les yeux, les poumons et les ailes, ont subi « des mutations« , c’est-à-dire des désordres génétiques. Pourtant, une preuve scientifique contredit cette théorie. Les mutations n’aident pas les créatures vivantes à se développer, bien au contraire, elles leur ont toujours été nuisibles.
La raison en est très simple: l’ADN a une structure très complexe et des changements aléatoires ne peuvent qu’avoir des effets destructeurs. C’est ce que nous explique le généticien américain, B.G. Ranganathan:
« Les mutations sont infimes, aléatoires et nuisibles. Elles se produisent rarement et dans le meilleur des cas sont inefficaces. Ces quatre caractéristiques de mutations impliquent qu’elles ne peuvent mener à un développement évolutif. Un changement aléatoire d’un organisme très spécialisé est inefficace ou nuisible. Un changement aléatoire dans une montre ne peut l’améliorer. Il l’abîmera très probablement, ou au mieux sera inefficace. Un tremblement de terre n’améliore pas une ville, il la détruit. »
(B. G. Ranganathan, Origins?, Pennsylvania: The Banner Of Truth Trust, 1988)
C’est sans surprise qu’aucun exemple de mutation utile, c’est-à-dire qui est censé développer le code génétique, n’a été observé jusqu’ici.
Toutes les mutations se sont avérées nuisibles. Il a été observé que la mutation, qui est présentée comme « un mécanisme évolutif« , n’est en réalité qu’une modification génétique qui nuit aux êtres vivantes et les handicape. (La mutation la plus célèbre chez l’être humain est le cancer). Un mécanisme destructif ne peut sans doute pas être « un mécanisme évolutif« . Par ailleurs, la sélection naturelle « ne peut rien par elle-même » comme Darwin l’a aussi admis. Ceci nous montre qu’il n’existe aucun « mécanisme évolutif » dans la nature.
Et puisque aucun mécanisme évolutif n’existe, aucun processus imaginaire appelé l’évolution ne pourrait se produire.
Le relevé des fossiles: aucune trace de formes intermédiaires
La preuve la plus évidente que le scénario suggéré par la théorie de l’évolution ne s’est pas produit, ce sont les fossiles répertoriés qui nous la fournissent.
Selon la théorie de l’évolution, chaque espèce vivante est issue d’une espèce qui l’a précédée. Une espèce existante précédemment se métamorphose en quelque chose d’autre au cours du temps, et toutes les espèces sont venues à la vie de cette façon. Selon la théorie, cette transformation se met en place graduellement sur des millions d’années.
Si cela avait été le cas, alors de nombreuses espèces intermédiaires auraient dû exister et vivre durant cette longue période de transformation.
Par exemple, certaines espèces mi-poisson/mi-reptiles auraient dû exister dans le passé et acquérir des caractéristiques de reptiles en plus de celles de poissons qu’elles avaient déjà. Ou il aurait dû exister quelques oiseaux-reptiles qui ont acquis quelques caractéristiques d’oiseaux en plus de celles des reptiles qu’ils avaient déjà.
Comme ils étaient dans une phase de transition, il devait alors s’agir de créatures vivantes déformées, déficientes et infirmes. Les évolutionnistes, qui se réfèrent à ces créatures imaginaires, pensent qu’elles ont vécu dans le passé en tant que « formes intermédiaires« .
Si de tels animaux avaient réellement existé, il devrait y en avoir des millions, voire même des milliards en nombre et en variété. Plus important encore, il devrait exister des traces de ces étranges créatures dans le relevé des fossiles. Dans son livre, L’origine des espèces,
Darwin l’explique:
« Si ma théorie est correcte, des variétés intermédiaires innombrables, liant intimement toutes les espèces du même groupe, devraient certainement avoir existé… Par conséquent, la preuve de leur existence précédente ne pourrait être retrouvée que parmi les restes de fossiles. »
(Charles Darwin, The Origin of Species: A Facsimile of the First Edition, Harvard University Press, 1964, p. 179)
Les espoirs de Darwin volent en éclats
Cependant, malgré une recherche acharnée de fossiles dans le monde entier, depuis le milieu du 19ème siècle, les évolutionnistes n’ont encore retrouvé aucune forme intermédiaire. Tous les fossiles retrouvés lors des fouilles ont montré que, contrairement à ce qu’espéraient les évolutionnistes, la vie sur terre est bien apparue de façon soudaine et entièrement formée.
Un célèbre paléontologue britannique, Derek V. Ager, l’admet bien qu’il soit lui-même un évolutionniste:
« Ce qui apparaît à l’examen minutieux des fossiles, que ce soit au niveau des ordres ou des espèces, c’est, à maintes reprises, non pas l’évolution progressive mais l’explosion soudaine d’un groupe aux dépens d’un autre. »
(Derek A. Ager, « The Nature of the Fossil Record », Proceedings of the British Geological Association, vol. 87, 1976, p. 133)
Cela signifie que, selon les fossiles répertoriés, toutes les espèces vivantes sont apparues de façon soudaine et entièrement formées, sans aucune forme intermédiaire. C’est exactement le contraire des suppositions de Darwin. Ce qui est la preuve déterminante que les créatures vivantes ont bien été créées. La seule explication qu’une espèce vivante apparaisse de façon aussi soudaine et entièrement formée sans aucun ancêtre intermédiaire serait que cette espèce a été créée. C’est également ce qu’admet le célèbre biologiste évolutionniste Douglas Futuyama:
« La création et l’évolution épuisent à elles seules les explications possibles de l’origine des êtres vivants. Soit les organismes sont apparus sur terre entièrement développés ou ils ne le sont pas. S’ils ne sont pas apparus entièrement développés alors ils doivent s’être développés à partir d’espèces préexistantes grâce à un processus de modification. S’ils sont vraiment apparus entièrement développés, ils doivent en effet avoir été créés par une intelligence toute-puissante. »
(Douglas J. Futuyma, Science on Trial, New York: Pantheon Books, 1983. p. 197)
Les fossiles montrent que les créatures vivantes sont apparues sur terre dans un état complet et parfait. Cela signifie que l’origine des espèces est à l’opposé des suppositions de Darwin. Il s’agit non pas d’évolution, mais de création.
La légende de l’évolution humaine
Le sujet le plus souvent évoqué par les défenseurs de la théorie de l’évolution est celui de l’origine de l’homme. Les darwinistes prétendent que l’homme moderne d’aujourd’hui s’est développé à partir de quelques créatures qui ressemblent au singe. Pendant le prétendu processus évolutionniste, que l’on suppose avoir commencé voilà 4 à 5 millions d’années, il est affirmé qu’il a existé certaines « formes intermédiaires » entre l’homme moderne et ses ancêtres. Selon ce scénario complètement imaginaire, quatre « catégories » de base sont dénombrées:
1. L’Australopithèque
2. L’Homo habilis
3. L’Homo erectus
4. L’Homo sapiens
Les évolutionnistes appellent les prétendus premiers ancêtres des hommes, qui sont semblables aux singes, les « Australopithèques« , ce qui signifie « singes sud-africains« .
Ces êtres vivants n’étaient en réalité rien d’autre qu’une vieille espèce de singe qui s’est éteinte. La vaste recherche faite sur des spécimens d’Australopithèque divers par deux anatomistes mondialement célèbres d’Angleterre et des Etats-Unis, Lord Solly Zuckerman et le professeur Charles Oxnard, a montré que ces espèces ont appartenu à une espèce de singe ordinaire qui s’est éteinte et n’avait aucune ressemblance avec les êtres humains. (Solly Zuckerman, Beyond The Ivory Tower, New York: Toplinger Publications, 1970, pp. 75-94; Charles E. Oxnard, « The Place of Australopithecines in Human Evolution: Grounds for Doubt », Nature, vol. 258, p. 389)
Dans leur classification, les évolutionnistes attribuent le terme « homo« , c’est-à-dire « l’homme« , pour désigner l’étape suivante de l’évolution humaine. Selon eux, les êtres vivants appartenant aux catégories de l’Homo sont plus développés que ceux de l’Australopithèque.
Les évolutionnistes conçoivent un schéma d’évolution imaginaire en organisant les différents fossiles de ces créatures selon un ordre particulier. Ce schéma est imaginaire parce qu’aucune relation évolutive entre ces différentes classes n’a jamais été prouvée. Ernest Mayr, un des principaux défenseurs de la théorie de l’évolution au 20ème siècle, l’admet en disant que
« la chaîne remontant à l’Homo sapiens est en réalité perdue »
(J. Rennie, « Darwin’s Current Bulldog: Ernst Mayr », Scientific American, décembre 1992)
En schématisant la chaîne de liens de la façon suivante » Australopithèque
> Homo habilis > Homo erectus > Homo sapiens » les évolutionnistes déduisent que chacune de ces espèces est l’ancêtre de la suivante. Mais les découvertes récentes des paléoanthropologues ont révélé que l’Australopithèque, l’Homo habilis et l’Homo erectus ont vécu dans différentes régions du monde à la même époque. (Alan Walker, Science, vol. 207, 1980, p. 1103; A. J. Kelso, Physical Antropology, 1st ed., New York: J. B. Lipincott Co., 1970, p. 221; M. D. Leakey, Olduvai Gorge, vol. 3, Cambridge: Cambridge University Press, 1971, p. 272)
De plus, un certain segment des humains faisant partie de la classe des Homo erectus a vécu jusqu’à des périodes très récentes.
L’homo sapiens neandarthalensis (l’homme de Neandertal) et l’Homo sapiens (l’homme moderne) ont coexisté dans la même région. (Time, novembre 1996)
Cette situation indique apparemment l’impossibilité d’une lignée généalogique quelconque entre ces différentes classes. Stéphane Jay Gould, un paléontologue de l’Université de Harvard, explique l’impasse dans laquelle se trouve la théorie de l’évolution, bien qu’il soit lui-même un évolutionniste:
« Qu’advient-il de notre échelle si trois lignées d’hominidés coexistent (l’Australopithèque africanus, l’Australopithèque robuste et l’Homo habilis) et qu’aucun ne provient clairement d’un autre? De plus, aucun des trois n’a montré de tendances évolutionnistes pendant leur existence sur terre. »
(S. J. Gould, Natural History, vol. 85, 1976, p. 30)
Bref, le scénario de l’évolution humaine que l’on cherche à soutenir à l’aide de divers dessins de quelques créatures « mi-singe, mi- homme » paraissant dans les médias et les livres scolaires, c’est-à-dire au moyen d’une propagande éhontée, n’est qu’une légende sans fondement scientifique.
Lord Solly Zuckerman, un des scientifiques les plus célèbres et les plus respectés du Royaume-Uni, a effectué pendant des années des recherches sur ce sujet et a tout particulièrement étudié pendant 15 ans des fossiles d’Australopithèques. Il a finalement conclu, bien qu’il soit lui-même un évolutionniste, qu’il n’existe en réalité aucun arbre généalogique constitué de ramifications rattachant l’homme à des créatures semblables au singe.
Zuckerman a aussi établi un intéressant » spectre de la science « .
Il a formé un spectre des sciences allant des disciplines qu’il considère comme scientifiques à celles qu’il considère comme non scientifiques.
Selon le spectre de Zuckerman, les disciplines les plus « scientifiques« , c’est-à-dire fondées sur une base de données concrètes, sont la chimie et la physique. Ensuite viennent les sciences biologiques puis les sciences sociales. A l’autre extrémité du spectre, qui est la partie considérée comme la « moins scientifique« , se trouvent les perceptions extra-sensorielles, dont font partie la télépathie et « le sixième sens » – et enfin « l’évolution humaine« . Zuckerman en explique le raisonnement:
« Nous nous déplaçons alors directement du registre de la vérité objective dans ces champs de la science biologique présumée, comme la perception extra-sensorielle ou l’interprétation de l’histoire des fossiles humains, où pour le fidèle (évolutionniste) tout est possible, et où le partisan ardent (de l’évolution) est parfois capable de croire en même temps à plusieurs choses contradictoires. »
(Solly Zuckerman, Beyond The Ivory Tower, New York: Toplinger Publications, 1970, p. 19)
La légende de l’évolution humaine ne repose que sur quelques interprétations préconçues à partir d’un certain nombre de fossiles déterrés par certaines personnes qui adhèrent aveuglément à leur théorie.
La technologie de l’œil et de l’oreille
Un autre sujet qui reste sans réponse pour la théorie évolutionniste est l’excellente capacité de perception de l’œil et de l’oreille.
Avant d’aborder la question de l’œil, essayons de répondre brièvement à la question du « comment nous voyons« . Des rayons de lumière venant d’un objet forment sur la rétine de l’œil une image inversée. A cet instant, ces rayons de lumière sont transmis sous forme de signaux électriques par des cellules et atteignent un endroit minuscule que l’on appelle le centre de la vision à l’arrière du cerveau.
Ces signaux électriques sont perçus en tant qu’images dans ce centre du cerveau suite à un long processus. A partir de ces informations techniques, essayons de réfléchir maintenant.
Le cerveau est isolé de la lumière. Cela signifie que l’intérieur du cerveau est complètement sombre et que la lumière n’atteint pas le lieu où se trouve le cerveau. Le centre de la vision est un endroit complètement obscur où aucune lumière jamais n’y pénètre; il pourrait même s’agir du lieu le plus sombre que vous n’ayez jamais connu. Et malgré tout, vous arrivez à voir un monde éclatant de lumière dans cette profonde obscurité.
L’image formée dans l’œil est si précise et distincte que même la technologie du 20ème siècle n’a pas été capable de l’obtenir. Regardez, par exemple, l’article que vous lisez, les mains avec lesquelles vous défiler l’écran de votre téléphone ou le scroll de votre souris, levez maintenant votre tête et regardez autour de vous. Avez-vous jamais vu une image aussi précise et distincte que celle-ci? Même l’écran de télévision le plus perfectionné produit par le plus grand fabricant de télévision dans le monde ne peut vous fournir une image aussi précise. C’est une image tridimensionnelle, en couleur et d’une extrême précision. Pendant plus de cent ans, des milliers d’ingénieurs ont essayé d’obtenir une telle précision de l’image. Des usines ont été construites, d’énormes locaux y ont été consacrés, de nombreuses recherches ont été menées, des plans et des conceptions ont été faits pour obtenir les meilleurs résultats.
L’écran de télévision ne vous propose qu’une image bidimensionnelle, alors que de vos yeux vous obtenez une perspective tridimensionnelle qui comporte également la profondeur.
Pendant des années, des dizaines de milliers d’ingénieurs ont bien essayé de produire une télévision tridimensionnelle qui obtienne la qualité de la vision de l’œil. Ils ont effectivement mis en place un système tridimensionnel de télévision mais il est impossible de le regarder sans lunettes (lunette 3D). Par ailleurs, ce n’est qu’un système artificiel à trois dimensions. L’arrière-plan apparaît flou et le premier plan ressemble à un décor en papier. Il n’a jamais été possible de reproduire une vision aussi nette et distincte que celle de l’œil. On décèle une perte de qualité d’image aussi bien pour la caméra que pour la télévision.
Les évolutionnistes prétendent que le mécanisme à l’origine de cette image aussi pointue et distincte est le fait du hasard. Maintenant, si quelqu’un vous disait que votre télévision est le produit du hasard, que tous ses atomes se sont assemblés et ont composé un appareil capable de produire une image, qu’en penseriez-vous? Comment des atomes pourraient-ils réaliser ce dont des milliers de gens sont incapables?
Si un appareil produisant une image plus primitive que celle de l’œil ne peut avoir été formé par hasard, il est donc tout à fait certain que l’œil et l’image que voit l’œil ne peuvent être le fruit du hasard.
La même logique s’applique à l’oreille. L’oreille externe capte les sons transmis par le pavillon auriculaire et les dirige vers l’oreille moyenne qui transmet les vibrations du son en les intensifiant; l’oreille interne transmet ces vibrations au cerveau en les transformant en signaux électriques. Tout comme pour l’œil, l’audition se réalise dans le centre de l’audition dans le cerveau.
Ce qui se produit pour l’œil est aussi vrai de l’oreille. C’est-à-dire que le cerveau est isolé du son comme de la lumière: il ne laisse pas entrer de son. De ce fait, peu importe que l’environnement extérieur soit bruyant, l’intérieur du cerveau est complètement silencieux.
Néanmoins, les sons les plus fins sont perçus dans le cerveau. Dans votre cerveau, qui est isolé du son, vous écoutez les symphonies d’un orchestre et entendez tous les bruits d’un lieu animé.
Cependant, si à ce moment-là le niveau du son dans votre cerveau devait être mesuré par un appareil précis, on constaterait qu’un silence total y règne.
Comme c’est le cas des images, des décennies d’efforts ont été fournis à essayer de produire et de reproduire un son fidèle à l’original.
Le résultat de ces efforts a donné naissance à des appareils d’enregistrement de son, à des systèmes de haute-fidélité et à des systèmes pour mesurer le son. Malgré toute cette technologie et des milliers d’ingénieurs et d’experts travaillant d’arrache-pied, aucun son n’a encore été obtenu qui ait la même acuité et la même clarté que le son perçu par l’oreille. Pensez à la très haute qualité de son générée par les systèmes Hi-fi produits par les plus grandes sociétés de l’industrie de la musique. Et même dans ces cas, lorsque le son est enregistré il y perd un peu de sa qualité; ou alors quand vous allumez un appareil de haute-fidélité vous entendrez toujours un sifflement avant le son de la musique. Cependant, les sons qui sont produits par la technologie du corps humain sont extrêmement précis et d’une grande netteté. Une oreille humaine ne perçoit jamais un son accompagné par un sifflement ou alors entaché de parasites comme le fait l’appareil de haute-fidélité (la Hi-fi); il perçoit le son exactement tel qu’il est, clair et net. C’est ainsi que cela a fonctionné depuis la création de l’homme.
Jusqu’à maintenant, aucun appareil visuel ou d’enregistrement produit par l’homme n’a été aussi sensible et aussi réussi dans la perception de données sensorielles que ne le font l’œil et l’oreille.
Cependant, concernant la vision et l’audition, une vérité beaucoup plus importante les sous-tend.
A qui appartient la conscience qui voit et entend dans le cerveau?
Qui est-ce qui voit un monde agréable et plaisant dans son cerveau, écoute des symphonies ou le gazouillement d’oiseaux et peut sentir la rose?
Les stimulations provenant des yeux, des oreilles et du nez d’un être humain vont au cerveau comme des impulsions nerveuses électrochimiques.
En biologie, en physiologie et dans les livres de biochimie, vous pourrez trouver tous les détails sur la formation de l’image dans le cerveau. Mais, vous ne rencontrerez jamais l’élément le plus important de ce sujet: qui donc perçoit les impulsions nerveuses électrochimiques en tant qu’images, sons, odeurs et événements sensoriels dans le cerveau? Il y a une conscience dans le cerveau qui perçoit tout cela sans ressentir le besoin d’avoir un œil, une oreille ou un nez. A qui appartient cette conscience? Il ne fait aucun doute que cette conscience n’appartient pas aux nerfs, à la couche grasse et aux neurones qui constituent le cerveau. C’est pourquoi les matérialistes Darwiniens, qui croient que tout est constitué de matière, ne peuvent donner de réponse à ces questions.
Car cette conscience est l’âme créée par Dieu. L’âme n’a besoin ni d’œil pour voir les images, ni d’oreille pour entendre les sons. En outre, elle n’a pas non plus besoin de cerveau pour penser.
Chaque personne qui lit cette évidence scientifique très claire devrait penser à Dieu Tout-puissant, Le craindre et chercher refuge auprès de Lui. Lui, qui enserre l’univers entier en un espace sombre de quelques centimètres cubes dans un format tridimensionnel, coloré, fait d’ombre et de lumière.
Une croyance matérialiste
L’information que nous avons présentée jusqu’ici nous montre que la théorie de l’évolution est une revendication à l’évidence en contradiction avec les découvertes scientifiques. La prétention de la théorie de l’évolution à propos de l’origine de la vie est inconséquente avec la science. Les mécanismes évolutionnistes qu’elle propose n’ont aucun pouvoir sur l’évolution et les données connues se rapportant aux fossiles démontrent que les formes intermédiaires nécessaires selon la théorie n’ont jamais existé. Ainsi, il devient certainement logique que la théorie de l’évolution devrait être mise à l’écart comme une idée non scientifique. Il existe un nombre incalculable d’idées, telles que l’idée de la terre comme centre du monde, qui ont été rayées des préoccupations de la science à travers l’histoire.
Malgré cela, la théorie de l’évolution reste avec insistance à l’ordre du jour de la recherche scientifique. Certains vont jusqu’à essayer de faire passer les critiques formulées contre la théorie comme « une attaque contre la science« . Pour quelle raison le font-ils? La raison en est que la théorie de l’évolution est une croyance dogmatique indispensable à certains cercles. Ces milieux sont aveuglément dévoués à la philosophie matérialiste et adoptent le darwinisme parce qu’il est la seule explication matérialiste qui peut être avancée pour la nature.
Mais de façon assez intéressante, ils leur arrivent aussi de le reconnaître de temps en temps. Richard C. Lewontin, célèbre généticien et évolutionniste, de l’Université de Harvard, avoue qu’il est « d’abord un matérialiste avant d’être un homme de science » en ces termes:
« Ce n’est pas que les méthodes et les institutions scientifiques nous obligent d’une façon ou d’une autre à accepter une explication matérielle du monde phénoménal, mais c’est, au contraire, que nous sommes forcés, par notre adhésion a priori aux causes matérielles, de créer un appareil d’investigations et un jeu de concepts qui produisent des explications matérielles. Et, peu importe que cela soit contraire à l’intuition, peu importe que cela soit mystificateur pour le non initié. En outre, ce matérialisme est absolu, nous ne pouvons admettre un Pied Divin sur le pas de la porte »
(Richard Lewontin, « The Demon-Haunted World », The New York Review of Books, 9 janvier, 1997, p. 28)
Ce sont des déclarations explicites montrant que le darwinisme est un dogme entretenu uniquement par adhésion à la philosophie matérialiste. Ce dogme maintient qu’il n’y a aucun être à l’exception de la matière. De ce fait, il soutient que la matière inanimée et inconsciente a créé la vie. Il suggère que des millions d’espèces vivantes différentes telles que les oiseaux, les poissons, les girafes, les tigres, les insectes, les arbres, les fleurs, les baleines et les êtres humains sont issues du résultat d’interactions de la matière, comme la pluie torrentielle ou l’éclair de la foudre, etc, c’est-à-dire de matière inanimée.
C’est un précepte à la fois contraire à la raison et à la science. Pourtant les darwinistes continuent à défendre ce précepte pour « ne pas admettre un Pied Divin sur le pas de la porte ».
Quiconque ne regarde pas l’origine des êtres vivants avec un préjugé matérialiste conviendra de cette vérité évidente: Tous les êtres vivants sont l’œuvre d’un Créateur, qui est Tout-puissant, Sage et Omniscient. Ce Créateur est Dieu, Il est Celui Qui a créé l’univers entier à partir du néant, l’a conçu sous la forme la plus parfaite et a façonné tous les êtres vivants.
« Ils dirent: « Gloire à Toi! Nous n’avons de savoir que ce que Tu nous as appris. C’est Toi l’Omniscient, le Sage. »
(Coran 2 Verset 32)
Sur ce, Que la Paix de Dieu soit sur vous et vous accompagne partout où vous êtes.